10 décembre 2018, célébration du 70 ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dans le monde et en RDC.
Si les valeurs proclamées par la DUDH sont acceptées sincèrement, il faudra accepter ce droit à toute personne de les défendre. En RDC, les ONG , les DDH, les politiciens sensibles à l caus de droits humains ainsi que les ONGI , Ambassades et Organismes internationaux ont durant 10 ans passé plaidé en faveur de la protection des DDH mais en vain.
Que dis-je? Avant de tirer les conclusions de la volonté du régime de contribuer à l’assainissement l’ espace démocratique et l’ Etat de Droit, il y a lieu d’attendre e dernier mot du Parlement dont la Commission paritaire PAJ Assemblée nationale et Sénat dire son dernier mot quant à la conclusion sur les divergences des ponts de vue de l’Assemblée nationale et le Sénat.
Les acteurs politiques en campagne peuvent-ils aussi convaincre le peuple congolais sur leur projet quant à cette question épineuse de la protection du Défenseur des droits humains qui est toute personne qui accepte de s’exprimer pour l’intérêt de la nation et de toute personne en dénonçant les violations des lois, les actes de corruption et d’injustice, les mauvaises pratiques de gouvernance… à titre personnel ou en associant avec d’autres personnes, dans une association enregistrée ou pas, dans le cadre professionnel ou pas , à titre occasionnel ou permanent?
L’avenir de la RDC est au prix de ceux qui acceptent les critiques let la participation de tous à la gestion ou contrôle de l’exercice du pouvoir politique. Plusieurs méritent une attention particulière notamment la Loi de protection du DDH, la Loi d’accès à l’information, la Loi su la liberté de manifester et par contre quelques projets liberticides sont à éviter notamment le triste projet de Loi portant révision de la Loi004 sur les ASBL. Une analyse de la Société civile est trouvable ici: Rapport Atelier 4 mai 2018 sur Care legl des OSCC