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Alliance pour l'Universalité des Droits Fondamentaux

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La liberté provisoire aux Autorités de TRANSCO et libération conditionnelle accordée aux Autorités condamnées pour corruption : quelle suite aux plaintes de l’ODEP et de l’ACAJ pour l’avenir de la lutte contre la corruption en RDC ?

ByAudf Ong

Jan 14, 2021

Que sont devenues les plaintes de l’ODEP et de l’ACAJ par rapport aux personnalités poursuivies dans le cadre de la lutte contre la corruption en RDC ? Que représente le traitement de ces deux grands dossiers aux yeux des observateurs sur le plan national et international ?

D’aucun n’ignorent l’effet boom et rang du dossier contre Monsieur Vital Kamerhe et csrts, suite aux allégations des détournements des deniers publics.

Des réactions positives et négatives ne cessent d’agiter les différentes parties qui d’une part mettent cette arrestation d’un Haut Cadre de la République (Directeur du Cabinet du Chef de l’Etat) à l’actif du Pouvoir du Président Félix Antoine TSHISEKEDI et d’autre part, il y en a qui estiment que c’est un adversaire politique potentiel éliminé de la course. Qui a raison et qui a tort ? Il n’ y a que la lutte continue et l’aboutissement heureux de la lutte contre la corruption   qui agrandira la République d’où la nécessité de prendre au sérieux les plaintes de l’ODEP et de l’ACAJ qui ont dénoncé respectivement la liberté provisoire accordée aux dirigeants de la Société TRANSCO à savoir Monsieur WASONGOLA VUMI Aimé ( Directeur Administratif et Financier de Transco  ) et Monsieur John ANDREW BONGI Blackson ( Directeur Général ai de Transco),  d’une part et d’autre part Monsieur  Benjamin WENGA (Directeur Général de l’OVD) et Modeste KABARUZA (Directeur Général de la SOCOC).

La lutte contre la corruption déterminera l’avenir avec du Régime politique sous le Régime politique du Présidence Felix Antoine TSHISEKEDI qu’il sied d’y accorder plus d’attention hormis moult pressions possibles. Les enquêtes, tambour battant et les poursuites judiciaires déclenchées ne donnent satisfaction qu’à l’issue de la Décision judiciaire d’acquittement ou de condamnation avec la possibilité de retourner au trésor public les fonds sensés détournés. Quant aux mesures de libération conditionnelle ou de liberté provisoire, il serait mieux de les éviter, c’est pour quoi des milliers de personnes s’interrogent sur l’avenir de la lutte contre la corruption.

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